Walking Dead 17 & 18 | Terrifiante Lucille

 

Brèves impressions.

*** Préambule *** Je spoile toujours mes chroniques de Walking Dead. Je préfère m’intéresser à certains détails de l’histoire qu’à donner simplement mon avis général, qui de toute façon reste le même de tome en tome. Ça m’évite de me lasser de chroniquer cette série. De ce fait, si vous lisez cette chronique, c’est à vos risques et péril.

Dans le tome 17, notre groupe de survivants fera dans ce tome plus ample connaissance avec celui de Negan. En fait, ils rencontrent Negan lui-même, un psychopathe dans la veine du Gouverneur. Il se promène partout avec une batte de base-ball entourée de fil barbelé qu’il appelle Lucille. Il tuera Glenn avec celle-ci. Sans doute les pages les plus insoutenables que j’ai pu lire jusqu’ici. Glenn est un des rares personnages auquel je m’étais attachée. Ce gamin gentil et débrouillard était là depuis le premier tome ! Du coup, j’ai regardé qui il restait à partir de la liste de début de volume du deuxième tome : Rick, son fils, Andrea, Maggie et Sophia … Si peu …
Vaincu, Rick s’écrase … Tout du moins en apparence. Il fomente un truc avec Jésus (hors contexte cette phrase est surréaliste), ce type un peu zarbi qui se bat comme personne, qu’ils ont rencontré dans la communauté voisine.
Une bonne partie du tome 18 sera consacré à la rencontre entre Negan et Carl, le fils de Rick. Le petit psychopathe en devenir (si quelqu’un pense encore que ce gamin peut être sauvé, qu’il lève la main) fait la rencontre du grand psychopathe. Intéressant, ma foi. Contre toute attente, après l’avoir humilié, Negan rend Carl à son père.
Nous ferons aussi la connaissance d’Ezechiel qui s’est autoproclamé roi de sa communauté. Il a un tigre domestique. Inutile de vous dire que je suis curieuse de voir ce tigre en action, je ne doute pas que le scénariste s’en serve à des fins utiles, de préférence violentes. Ezechiel a l’air un peu déjanté mais dans le bon sens du terme. Il s’annonce digne d’intérêt.
On est reparti pour plusieurs volumes avant qu’ils trouvent un moyen de se débarrasser de Negan. Ce qui est dommage c’est que ça fait un peu bis repetita avec l’épisode du Gouverneur. J’espère qu’il n’y aura pas que du Negan dans les tomes à venir. On se demande un peu où sont passés les zombies, ils sont devenus anecdotiques.
Bon ben voilà. J’ai rattrapé la série. Il ne me reste maintenant plus qu’à me procurer le dernier en date, comme tout le monde. On en reparle bientôt (ou pas, je ne sais pas si je vais chroniquer un par un, surtout si ça avance comme ça avance actuellement).
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Acro,

5 commentaires sur « Walking Dead 17 & 18 | Terrifiante Lucille »

  1. on en est au même point donc… Globalement, je suis du même avis, surtout pour le côté négatif de la chose : le côté gouverneur bis et les zombies qu'on ne voit quasiment plus. Alors autant je trouve que de présenter l'espèce humaine comme étant presque une menace plus grande que les bouffeurs de chair, autant au bout d'un moment faudrait booster le récit vers quelque chose d'autre qu'une saga à rallonge… :/ J'ai de plus en plus peur pour la qualité générale de l'ensemble, alors que ça partait tellement bien au départ ! Pour tout dire, j'ai de moins en moins (voir quasiment plus) d'empathie pour les personnages présentés… 😦

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