Impressions.
Ce second tome voit le groupe de Rick sur les routes et faire des rencontres capitales : l’accent est mis sur les relations entre les personnages. On suit avec angoisse les errances du groupe. L’efficacité toujours au-rendez-vous. Les illustrations de pleine page toujours un poil moins percutantes que dans le volume précédent.
Je n’ai pas peur de la route
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Shane n’est plus. |
Mais en ch’min au fil du temps j’ai fait des sacrées rencontres
Il y a encore de très bons moments avec les zombies, dont deux grosses séquences qui changent le cours de l’histoire. Mais encore plus que dans le premier volume, ce second opus met l’accent sur les relations entre les personnages : des couples se forment, on a 3 nouveaux arrivants et différentes rencontres importantes. En particulier la rencontre avec Hershel qui va entrer en conflit avec Rick sur ce qu’il convient de faire des zombies. Sacré Rick, il faut toujours qu’il ait raison et que ce soit lui qui décide ! Cela ne le rend pas plus sympathique et là il est un petit peu mal tombé.
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Est-ce vraiment une bonne idée ? |
Concernant le conflit Hershel/Rick, je comprends tout à fait que le type les ai virés. Comment aurait-il pu vivre avec les personnes qui lui ont démontrés par a+b qu’il n’était pas possible de maintenir des zombies dans une grange, sachant que cette erreur a coûté la vie de ses fils. Bref, à Wiltshire, ce sont les zombies qui les ont chassés, à la ferme Hershel, ce sont les gens.
La rencontre avec les Hershel est importante aussi car on se met à se poser la question de ce qui a bien pu se passer pour que les zombies apparaissent. Que l’état soit réversible ne parait pas très réaliste au vu de la gueule des zombies, cette réflexion-là ne va pas plus loin que les balles de fusil qui tuent les zombies échappés de la grange … Par contre, d’où viennent-ils ? Je dois avouer que la question ne m’a même pas traversé l’esprit à la lecture du premier tome.
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Le portrait craché de son père… |
Informations éditoriales
Publié en 2004. 2007 pour la présente édition chez Delcourt. Scénario par Robert Kirkman. Dessin par Charlie Adlard. Trames et niveaux de gris par Cliff Rathburn. Illustration de couverture par Tony Moore. Traduit par Edmond Tourriol / Makma. Titre original : Walkind Dead – Miles behind us. 143 pages
Pour aller plus loin
Mes Impressions : Tome 1.
Les photos ont été prises au cours de ma lecture.
Si c'est bien ce que je pense la fin du 2, c'est vrai que c'est une bonne fin. En fait lire ton article me rappelle que j'avais bien aimé ces tomes-ci, c'est après que j'ai commencé à décrocher…
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Ca me rappelle que je suis toujours bloqué au 13… Il faudrait que j'avance…
Très bonne série en tout cas !
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J'avance doucement… mais il y a des tomes très bons, d'autres un peu moins (mais tout est affaire de sensibilité)
« l'amas de zombies avec le tank en arrière-plan, on peut difficilement faire mieux » ah tout à fait 🙂 D'ailleurs, j'ai noté quelques facilités dans les tomes suivants mais heureusement qu'Adlard se laisse un peu aller… à se faire plaisir de temps en temps.
Comme quoi, Rick était bien fait pour être shérif/policier
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A partir du 5ème déjà ou plus tard ?
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Ha oui, le 16 vient de sortir !
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Oui tout à fait. L'avantage c'est qu'il y en a tellement (et ce n'est pas fini) que tu peux remonter sur des trucs qui t'intéressent davantage par la suite. Y a toujours le risque que ça s'essouffle aussi …
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Difficile à dire, j'ai eu des hauts et des bas. Moyennement aimé la fin de l'arc autour des tomes 7-8, après j'ai eu un regain d'intérêt qui est retombé ensuite… c'est un cycle sans fin 😀
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